Une récente déclaration fait état de la non-implication de la Sonacam dans une créance remontant à la période 2005-2017, arguant simplement que cette société n’était pas en existence durant cette période.
Des termes forts ont été utilisés pour condamner toute tentative de manipulation ou de mensonge autour de cette affaire, soulignant que ces fonds ne sont pas exclusivement destinés au milieu musical mais également à d’autres secteurs.
Il est précisé qu’il s’agit des Organismes de Gestion Collective (OGC) membres de l’Orsar, à savoir la Sociladra, la Scaap, la CMC-SOCAM et la Socadap, qui détiennent un protocole d’accord conjoint signé en décembre 2020 au Hilton. Il est important de se rappeler de cet événement marquant. En revanche, la Sonacam n’est ni membre de l’Orsar ni signataire de ce protocole, rendant vaine toute prétention quant à la destination finale des fonds qui seront dirigés vers le compte de l’Orsar.
A lire aussi Droits d’auteurs ; Les arriérés et les 850 millions dus par la CRTV : Une affaire qui fait jaser
Cette révélation apporte un éclairage nouveau sur la question des créances, mettant en lumière les acteurs véritablement impliqués et écartant toute ambiguïté concernant la responsabilité de la Sonacam dans cette affaire. Les OGC membres de l’Orsar semblent être au centre des débats, renforçant ainsi l’importance de clarifier les rôles et obligations de chaque entité dans ce dossier complexe.
Cette clarification met en exergue l’urgence de transparence et de rigueur dans la gestion des fonds alloués à ces différentes corporations, soulignant l’impératif de respecter les accords et protocoles établis pour garantir une distribution juste et équitable des ressources financières.
Les commentaires sont fermés.