« Jeunes lions du Cameroun, levez vos têtes ! Secouez la torpeur, brisez les chaînes de l’indifférence ! Vous qui ployez sous le poids des anciens, vous dont les rêves sont brisés par ceux-là mêmes qui devaient éclairer votre chemin, écoutez mon cri, un appel vibrant au sursaut patriotique ! »
« C’est un cri du cœur qui jaillit de mes entrailles ! Ils ont trahi la confiance de notre patriarche, ils multiplient les motions de soutien hypocrites pour asseoir leur pouvoir. Pendant ce temps, notre pays, autrefois fier et prometteur, sombre dans l’inaction, tel un navire à la dérive, perdu dans la brume de l’oubli. Nos talents sont ignorés, nos voix étouffées, comme si une main invisible cherchait à maintenir notre génération dans l’ombre épaisse de l’oubli. Certains, découragés, s’exilent, abandonnant notre patrie à la merci des chefs de clans qui se livrent une guerre de succession sans merci pour prendre la place qui nous revient de droit. »
« Nous avons laissé le champ libre à ces aînés voraces, et même à leurs complices de l’opposition, qui jouent un double jeu, profitant de la situation sans jamais rien changer. D’autres, résignés, applaudissent les héritiers du système, même les plus incompétents, qui occupent les postes clés, bloquant l’accès au pouvoir à ceux qui pourraient apporter un véritable changement, une véritable rénovation… Le Cameroun, notre Cameroun, mérite mieux que cette stagnation, mieux que cette paralysie qui l’empêche de prendre sa place de leader en Afrique, de briller de mille feux. »
« Où est la relève ? Où sont ceux qui porteront le flambeau de l’espoir ? Notre jeunesse, pourtant fer de lance de la nation, est bâillonnée, mise sous tutelle. Une poignée d’individus, qui ont encerclé le Président et ne font pas ce pourquoi il les a conviés à la table de gouvernance, s’accrochent au pouvoir, nous contrôlant, nous réduisant au silence, nous empêchant de nous exprimer. La médiocrité règne en maître, barrant l’accès au pouvoir à ceux qui refusent de se soumettre, à ceux qui osent rêver d’un avenir différent, un avenir radieux. »
« Combien de temps allons-nous supporter ce spectacle désolant ? Combien de temps allons-nous endurer ces discours creux, ces promesses vides, cette élite qui entrave notre intelligence, qui bride nos ambitions, qui nous maintient dans un état de dépendance ? sous l’ere du verso, nous observons nos aînés s’accrocher au pouvoir avec une avidité qui défie le temps, leur énergie fanée, leurs actions stériles, ne font qu’enfoncer le pays dans l’oublie de la prospérité, Spectateurs impuissants du déclin de notre nation, nous restons passifs, tétanisés, incapables de réagir, de prendre notre destin en main. »
« Camarades, il est temps de nous réveiller ! Il est temps de secouer cette léthargie qui nous paralyse ! Souvenons-nous de ceux qui ont sacrifié leur vie pour notre liberté, pour que nous puissions vivre dans un pays libre et indépendant ! Où sont passés les rêves de notre enfance, ces rêves d’un Cameroun fort et prospère ? Notre jeunesse est volée, enrôlée de force dans une armée de spectateurs passifs. Mais nous avons le pouvoir de dire NON ! Nous avons le droit de réclamer notre place, de faire nos preuves, d’illuminer cette nation engourdie par le poids des ans ! »
« Notre président compte sur nous, il l’a dit ! Soyons le fer de lance qu’il appelle de ses vœux, soyons cette génération qui fera basculer le Cameroun dans une nouvelle ère ! Lancé, le fer atteint sa cible avec précision . A nous de jouer ! »
Rejoindre l’opposition peut sembler la voie facile, pourtant Non, le changement viendra de nous, de l’intérieur du RDPC et non pas dans ces camps de concentration et de chantage politique , que dirigent ces opposants de scène du 3e âge qui sont également admissible à la retraite politique, étant donné leur incapacité à séduire le peuple…n’acceptons pas de double parcours, hier opposant, aujourd’hui proposant, et encore pire ceux qui sont avec le président aujourd’hui mais qui changeront de discours demain lorsqu’il décidera de rentrer au village…c’est à nous de lui assurer une retraite paisible et à lui rendre le vrai hommage.
Ce 6 novembre doit être un moment de réflexion, voilà pourquoi je vous invite à soutenir l’appel au congrès de notre parti pour porter la nouvelle voix de notre génération et démontrer que nous sommes prêts à assumer notre époque et à faire face à nos défis.
Notre combat n’est pas une lutte pour le pouvoir ou une simple querelle de partis. Il est plus noble, plus grand, plus ambitieux. C’est un combat pour notre avenir, pour l’âme de notre nation, pour que le Cameroun renoue avec sa grandeur et sa fierté, pour conserver et protéger le colossal travail abattu par notre champion , Paul Biya.
Camarades jeunes des partis politiques et en dehors , l’heure a sonné ! Assez de cette douce mélodie de la fidélité aveugle, de ces chants sirènes qui nous endorment, qui nous maintiennent dans un état de somnolence perpétuelle ! Nos rêves s’étiolent, notre jeunesse se consume, nos talents se meurent ? Si nous sommes les héritiers de notre patriarche et très estimé Président, ne craignons pas de braver la tempête que ceux qui ont formé le cercle imperméable autour de lui et qui refusent de nous tenir la main pour préparer la relève… Sortons des sentiers battus.
Tel le lion avant le saut, tel l’aigle qui prend son envol ! Les prochaines élections sont notre terrain de jeu, un terrain semé d’embûches, certes, mais en nous y lançant dès aujourd’hui, avec courage et détermination, nous aurons le temps de démontrer que la relève sera assurée.
Comme le dit si bien un proverbe bantou : « Une seule main ne peut nouer le pagne ». Et un autre : « Un seul charbon ne suffit pas à allumer un feu ». Soyons la multitude, soyons le brasier ardent qui brulera la paille de l’inertie qui enveloppe notre pays , car rien ne peut résister à une jeunesse consciente et engagée , unie par une même flamme, par une même volonté de changement positif… c’est notre génération, c’est notre époque.
Il ne s’agit pas ici des partis politiques, C’est bien plus que cela. C’est un combat contre l’inertie, contre la sclérose des mentalités, contre cette résignation qui nous ronge. Il est temps de réveiller toute la jeunesse camerounaise, de lui faire prendre conscience de sa force, de son potentiel, de sa capacité à changer le cours des choses.
Il est temps de reprendre le flambeau pour continuer la construction d’un Cameroun nouveau, un Cameroun fort, un Cameroun prospère, où chaque jeune aura sa chance de briller, de s’épanouir, de réaliser ses rêves.
Debout, jeunesse du Cameroun ! L’avenir est entre nos mains !
À vous, jeunes lions et lionnes du Cameroun, qui rêvez d’un avenir radieux, mais qui vous laissez endormir par le chant des sirènes de l’indifférence, réveillez-vous ! Sortez de l’ombre, brisez les chaînes de la passivité ! La politique n’est pas un jeu réservé à une élite, ce n’est pas le domaine exclusif de ceux qui ont fréquenté les grandes écoles ou qui tirent les ficelles dans l’ombre. Elle est l’affaire de tous, car elle façonne notre destin, elle dessine le Cameroun de demain.
On vous rabâche que « l’école est aux écoliers, la politique aux politiciens », reprenant les paroles du père de la nation S.E Paul Biya ; Mais aujourd’hui, vous avez grandi. Vous n’êtes plus des écoliers , Vous êtes des citoyens, des adultes responsables, qui doivent prendre leur destin en main. La politique est votre arme, car voter est un acte de résistance, un moyen de faire entendre votre voix, de défendre vos droits, de construire le Cameroun dont vous rêvez. S’abstenir, c’est choisir la mort sociale, c’est se condamner à l’invisibilité, à l’impuissance.
« Saisissons cette chance inouïe ! Le père de notre nation est à nos côtés, il croit en nous, en la jeunesse flamboyante et audacieuse que nous sommes ! Profitons de cette opportunité unique pour prendre notre envol, pour nous imposer face à ceux qui tentent de nous bâillonner, de nous maintenir dans l’ombre. Je ne vous demande pas de rejoindre le RDPC, mais d’ouvrir les yeux et de constater que ceux qui prétendent se battre pour le changement, refusent tout débat au sein de leurs propres partis. Ils sont les premiers ennemis du changement qu’ils prônent, mais prétendent remplacer Paul Biya… Sachez-le : l’avenir nous appartient, le présent est entre nos mains ! »
2025 approches à grands pas. C’est l’occasion de protéger notre pays du chaos et des divisions, de faire échec à cette opposition opportuniste qui instrumentalise nos frustrations pour s’emparer du pouvoir. Ne laissons pas ceux qui ont trahi la confiance de notre patriarche, ceux qui ont sacrifié l’intérêt du Cameroun sur l’autel de leurs ambitions personnelles, détruire l’héritage qu’il a construit avec tant de dévouement pendant 42 ans.
Prenons nos responsabilités ! Chaque génération a une mission. Celle de notre président fut de bâtir la démocratie, de pacifier le pays, de créer les conditions du développement. Il l’a fait avec succès. Aujourd’hui, c’est à nous de prendre le relais, de poursuivre son œuvre, de construire un Cameroun prospère et solidaire. Offrons à notre président le repos qu’il mérite, en lui prouvant que sa jeunesse est prête à relever le défi.
Nous nous lamentons que le pays ne fasse rien pour nous, mais que faisons-nous pour lui ? Sommes-nous vraiment engagés ? Ou passons-nous notre temps à nous plaindre sur les réseaux sociaux ? Pendant que notre père, notre guide, porte le poids du pays sur ses épaules, nous restons les bras croisés, à attendre que les choses changent d’elles-mêmes. Comme le disait John F. Kennedy : « Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays. »
Au lieu de nous contenter de signer des motions de soutien, allons plus loin. Montrons à notre père, à notre guide, que nous sommes dignes de sa confiance, que nous saurons préserver son héritage.
Ne laissons pas les « anges déchus du système », ces opposants opportunistes, récupérer ce qui nous revient de droit. Le Cameroun a besoin de sa jeunesse, de son audace, de ses idées novatrices.
Notre nation a ses héros, ses martyrs, mais notre plus grand monument vivant, c’est Paul Biya. En ce jour où nous célébrons son 42e anniversaire à la tête du pays, souvenons-nous de son appel à quitter l’inertie, à construire notre propre destin.
Jeunes du Cameroun, l’heure est venue ! Levez-vous, mobilisez-vous, engagez-vous pour un Cameroun nouveau, un Cameroun fort et prospère ! L’avenir est entre vos mains !