La salle Ruben Tokoto de la mairie de ville de Douala a servi de cadre le vendredi 05 décembre à la restitution cacip/Cicap menée dans le cadre de la collaboration avec la mairie de Bordeaux Métropole. Une initiative que la maire de la ville Roger Mbassa Dine a soutenu de la plus belle des manières.
La caravane cinématographique cinématographique pour la promotion du civisme et de la paix a été mis en oeuvre avec le patronage de la mairie de ville et le parrainage de la délégation régionale des arts et de la culture du littoral a donc connu l’épilogue de cette première édition avec cette restitution du travail abattu lors de la première édition qui s’est déroulée en deux phases. La première du 15 au 16 mai et la seconde phase du 26 au 28 février 2025. C’etait une occasion idoine pour l’ensemble de l’équipe de cette initiative de faire le bilan du travail qui a été mis en oeuvre pendant cette édition . Dans le fond, il était question de vulgariser le cinéma d’une part mais aussi et surtout utiliser le 7ème pour une lutte efficace contre l’incivisme et la promotion de la paix et l’économie circulaire. Prenant la parole, l’un des responsables va présenter toutes les différentes articulations et les actions menées lors de ces phases avec notamment des sensibilisations dans les écoles et même dans les différentes artères de la ville notamment dans la mairie de Douala 1er et Douala 3ème. Avec des objectifs de communication et de sensibilisation bien connues, les organisateurs ont donc mis tout en oeuvre pour la réussite de cette edition malgré les moyens limités. Dans la suite de leur argumentaire, les organisateurs ont apprécié de la plus belle des manières l’appui multiforme de la mairie de ville de Douala qui a pris ce projet à bras le corps puisque cela entre en droite ligne avec leur politique actuelle axé sur l’amélioration du cadre de vie des populations. Roger Mbassa Dine a donc mis les petits plats dans les grands afin que cela soit une réussite. Le rendez vous a donc été pris pour la prochaine édition afin que le cinéma soit un véritable vecteur de civisme et de sensibilisation dans la ville de Douala mais également dans les autres villes du Cameroun.
Joseph kono




