Menacé de destitution, Donald Trump risque aussi gros au plan financier

Les derniers jours de Donald Trump à la Maison Blanche rassemblent à un supplice. Les mauvaises nouvelles s’accumulent. A la menace de destitution, s’ajoute le risque financier et fiscal. Ainsi, Deutsche Bank annonce ne plus faire affaire à l’avenir avec Donald Trump ni avec ses entreprises, à la suite de l’assaut perpétré par des partisans du président américain au Capitole le 6 janvier, a rapporté le New York Times, citant une personne proche de la banque.
Alerte sur Washington. Le.monument national fermé
— LAURENCE HAIM (@lauhaim) January 12, 2021
Deutsche Bank est le principal créancier de Donald Trump, avec environ 340 millions de dollars (279,67 millions d’euros) de prêts en cours accordés à la Trump Organization, le conglomérat du président qui est actuellement supervisé par ses deux fils.
Christiana Riley, responsable de Deutsche Bank pour le continent américain, a condamnéDeutsche Bank pour le continent américain, a condamné la semaine dernière dans un message publié sur LinkedIn les violences commises au Capitole qui ont fait cinq morts.
Lire aussi: Somalie : Donald Trump ordonne le retrait des troupes américaines